13 octobre 2008
Pompon
ou celui qui voulait sécher la mer avec une éponge.
Les crayonnages de Delphine Jacquot me font toujours le même effet. Ça commence par un battement bOum au cœur, un peu différent, et ça se poursuit par un voyage dedans les yeux.
L'histoire, je n'y ai même pas jeté un coup d'œil en le prenant. Elle est poétique, elle est sur l'absence.
Il y a juste ces deux petites phrases de fin, qui me laisse sur la mienne, de faim. Comme s'il avait fallu vite vite terminer l'histoire, sans trop savoir comment. C'est mon tout petit bémol à moi, cette dernière page moins envolée que les autres. Mais l'illustration qui l'accompagne est à tomber par terre.
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É